Le parcours de la Prestation canadienne pour les personnes handicapées
Le Handicap Sans Pauvreté (HSP) fut établi lorsque des activistes à travers le pays se sont unis pour combattre la pauvreté liées aux handicaps. Leur travail s’est concentré sur la Prestation Canadienne pour les Personnes Handicapées (PCPH), introduite en 2020 dans le Discours du Trône. Grâce aux nombreuses pétitions, lettres ouvertes, tribunes libres, rassemblements, partenariats et travaux apolitiques de HSP, la PCPH a obtenu la sanction royale à l'unanimité en Juin 2023. Maintenant, notre travail consiste à assurer que la PCPH soit une prestation qui aide réellement les personnes en situation de handicap en les sortant de la pauvreté.
DIRECTION
Notre progrès est le résultat des efforts dévoués de nombreux individus, en particulier des membres de la Table de Direction. Leur conseils ont été cruciaux pour façonner nos principes fondamentaux et fournir la vision nécessaire à notre avancement continu.
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Joignez-vous à nous et à nos organisations partenaires pour plaider en faveur d’une meilleure Prestation canadienne pour les personnes handicapées.
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Lisez les histoires de Canadiens handicapés vivant dans la pauvreté alors qu'ils plaident pour une meilleure voie.
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À partir de juillet 2025, les personnes handicapées bénéficiant du Crédit d'impôt pour personnes handicapées devraient recevoir un maximum de 200 $ par mois dans le cadre de la nouvelle Prestation canadienne pour les personnes handicapées.
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Bandes-annonces du balado Possibilité Handicap
Rabia réfléchit sur la nécessité non partisane d’#AméliorerLaPrestation
Les défenseurs des droits des personnes handicapées se mobilisent pour une prestation fédérale augmentée
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Regardez le webinaire de réponse de HSP ici.
Les règlements sont ouverts de juin à septembre 2024 dans la Gazette du Canada, Partie I, Volume 158, Numéro 26 : Règlements sur la Prestation canadienne pour les personnes handicapées.
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Le budget fédéral n’a prévu que 200 $ par mois/personne pour la Prestation canadienne pour les personnes handicapées (PCPH).
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Sept personnes sur dix disent que le gouvernement fédéral agit trop lentement pour mettre en place la prestation.
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"C’est très peu, pour très peu de personnes."
Rabia Khedr
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Après avoir lu les résultats du processus de consultation du gouvernement, consignés dans le Rapport sur le Plan d’action pour l’inclusion des personnes handicapées (PAIPH), HSP a constaté une lacune exprimée par certains des participants :
« Bien que nous ayons atteint certaines personnes, nous n’avons malheureusement pas consulté de manière adéquate diverses communautés marginalisées ou les plus difficiles à atteindre, y compris des démarches ciblées et significatives auprès des personnes handicapées qui s’identifient également comme 2ISLGBTQ+, des personnes racisées et autochtones en situation de handicap, des réfugiés handicapés, des personnes handicapées sans-abri, des personnes handicapées incarcérées ou anciennement incarcérées, des vétérans handicapés, des personnes handicapées qui sont ou ont été institutionnalisées, ou des communautés du Nord » (PAIPH 32).
Pour rectifier cette omission, HSP a entamé son propre processus de consultation visant à atteindre ces communautés marginalisées et les plus difficiles à joindre mentionnées dans le rapport du PAIPH.
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Avec notre partenaire Community Food Centres of Canada, près de 100 000 cartes postales physiques ont été envoyées au bureau de la ministre des Finances, Chrystia Freeland. Une campagne virtuelle a eu lieu en même temps.
Voyez la carte postale de la campagne "Budgétisez la prestation" ici.
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Le premier bulletin annuel de Handicap Sans Pauvreté évalue la performance de notre gouvernement envers les personnes handicapées vivant dans la pauvreté. Nous pensons qu’il est important de montrer les statistiques et de les combiner avec des histoires réelles de personnes handicapées vivant dans la pauvreté.
Comme pour tout bulletin, nous avons attribué une note au gouvernement pour sa performance.
Nous leur avons donné la note I pour Incomplet.Nous constatons un manque de soutien, un manque de progrès, et qu’il est nécessaire d’avoir de meilleures données sur la véritable expérience du handicap au Canada.